
L’ai-je vraiment mérité ? J’ai le sentiment - orgueilleux - de reprendre ma place de Président (quelle dérision) des élèves, comme en 64-65.
Pour peu que je recommence à organiser la vente des croissants !!
Au fait, il me revient que ces foutus croissants, dont Duval fut friand, étaient fournis par la boulangerie Laveau. Enfin je crois.
C’est un certain Bruneau qui conduisait le camion qui a transporté les éléments de la scène de la fête des élèves de cette année là.
Yvon Picard y a joué une scène de Eugène Ionesco, la Cantatrice Chauve sans doute.
Mais je n’ai aucune idée pour retrouver ce Picard qui fut mon ami. Il est quelque part dans les Alpes, mais où ?
Je crois devoir insister sur l’idée de ces rencontres et surtout l’état d’esprit qui est le mien.
Il ne s‘agit pas de remuer la nostalgie comme un sauce figée et impropre à la consommation, bien sûr que non.
Je crois qu’il est important pour chacun d’entre nous de retrouver ses origines, ses racines, enfin quelques unes. Quoi de plus sympathique et de plus convivial que d’organiser une vraie fête avec tous ceux qui sont du même avis.
Notre objectif reste de prendre du plaisir, énormément de plaisir, c’est si rare aujourd’hui, de rire de nous, surtout de nous, de comprendre ce que nous sommes devenus en comprenant ce que nous étions.
En franche rigolade si possible. Alors, plus que de dîner, déjeuner ou boire (c’est essentiel), l’important est de vivre des moments de sincérité et d’échange. Sans aucun protocole, cela va de soi.
À suivre sans doute, mes réflexions ne font que commencer.
Je vous fais toute confiance pour le programme.
Merci à toi Christiane, Je t’embrasse, Patrice.

1 - l'objectif de notre projet: redit clairement: prendre du plaisir...
2 - retrouver ceux que nous aurions "plaisir" à retrouver: Yvon PICARD...
Des PICARD dans les alpes...il y en a beaucoup...mais avec quelques clics on peut trouver une piste...surtout si on recherche à plusieurs...
3- évoquer les souvenirs d'hier, (plutôt d'avant-hier) sans nostalgie:
3- évoquer les souvenirs d'hier, (plutôt d'avant-hier) sans nostalgie:
les fêtes de fin d'année avec des extraits de pièces de théâtre. En 66 ou 67, j'ai souvenir d'un french-cancan... pour lequel la direction avait longuement hésité car les filles terminaient par un beau "retourné" et...montraient leurs...culottes.
- bien sûr les friandises que le foyer vendaient
N'oubliez pas que je ne suis qu'un maillon des promoteurs du projet: voir le 1er message ou article paru: "Pourquoi ?" Prenez contact avec ceux que vous connaissiez le mieux et vous pouvez aussi faire comme Patrice, écrivez-moi (christianedaire@orange.fr), vous serez publié.
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